4 points à retenir sur la séance du conseil de Sainte-Anne-des-Lacs
Voici quelques points à retenir de la séance du conseil de Sainte-Anne-des-Lacs de lundi, 9 septembre.
Nouvelle bibliothèque et hôtel de ville
Le conseil a approuvé une demande d’aide financière de 750 000 $ pour le projet de construction d’une nouvelle bibliothèque. Celle-ci est déposée dans le cadre du Programme d’aide aux immobilisations du ministère de la Culture et des Communications. La Municipalité assumera une part à un minimum de 951 000 $ dans la réalisation du projet. La résolution prévoit aussi que la Municipalité assumera le financement ou trouvera une source de financement pour l’ensemble des coûts non admissibles, incluant tout dépassement des coûts éventuels.
À ce sujet, la mairesse a mentionné en début de séance que la Municipalité tiendra des consultations publiques en ligne et en personne à la fin du mois d’octobre. « On veut aller chercher le maximum de personnes », a souligné Catherine Hamé.
Rappelons qu’un comité de pilotage a été mis sur pied par le conseil municipal en mars 2024. Ce comité a comme mandats d’effectuer la révision du plan fonctionnel et technique; de participer à la préparation de la présentation citoyenne prévue à l’automne 2024 et de suivre l’échéancier du projet.
Achats
Les membres du conseil ont adopté une résolution sur l’achat d’un ponceau pour le chemin des Merisiers au coût de 60 200 $.
La Municipalité procédera aussi à l’achat d’un véhicule électrique usagé avec un budget de 25 000 $.
Projet intelligence artificielle
La Municipalité participera au projet « L’intelligence artificielle au service de la résilience des villes du Québec ».
« La Municipalité a été approchée par un groupe de chercheurs de l’Institut de la résilience et de l’innovation urbaine, en collaboration avec le programme mondial de résilience des villes d’ONU-Habitat et Mila. Leur objectif est de développer un outil d’intelligence artificielle pour permettre aux municipalités d’être plus résilientes aux changements climatiques, donc de prévoir les coûts avant que ceux-ci arrivent », a expliqué la mairesse.
Ce projet va durer trois ans. À terme, le Service des travaux publics pourra utiliser les outils. Plusieurs autres villes du Québec participent à ce projet.
Protection de la rivière du Nord
Le conseil appuie la démarche d’élaboration d’un plan d’action afin d’assurer une meilleure qualité de l’eau du bassin versant de la rivière du Nord pour les générations actuelles et futures.