Garde-Manger des Pays-d’en-Haut : Les travaux pour le nouveau local avancent bien
Le Garde-Manger des Pays-d’en-Haut entame l’année avec des travaux pour son nouveau local. Dès le début du mois de janvier, l’organisme a procédé à la démolition de l’ancienne Friterie de Sainte-Adèle, où sera construit un nouveau bâtiment pour accueillir les services de l’organisme sur la route 117.
« On devait utiliser le bâtiment de la Friterie au départ, mais on a réalisé que c’était inutilisable. Alors on a dû changer de projet et recommencer », explique Benoit St-Vincent, directeur du Garde-Manger. Le nouveau local aura le double de la superficie de l’ancien local, actuellement situé sur la rue Morin à Sainte-Adèle.
Le local du Garde-Manger passera de 4 000 à 8 000 pieds carrés.
L’organisme est présentement en attente d’un permis de construction de la Ville de Sainte-Adèle. « Ce qui serait souhaité, c’est qu’on ait déménagé nos opérations en septembre 2024. Mais il y a tout l’enjeu de financement également autour de ça », souligne M. St-Vincent. Déjà plusieurs partenaires ont montré leur soutien à l’organisme, mais celui-ci est toujours à la recherche d’autres.
Mieux répondre à la demande
Depuis quelques années, la demande pour les services du Garde-Manger ne fait qu’augmenter. L’espace du local actuel ne permettait pas d’y répondre, explique M. St-Vincent. « La cuisine est rendue notre entrepôt. Nos congélateurs et nos chambres froides sont remplies. En ce moment, on n’a pas d’espace pour nos livraisons et pour entreposer », explique-t-il.
Ainsi, le nouveau local aura un espace mieux aménagé pour les livraisons, pour transformer la nourriture, pour la cuisine collective et pour accumuler plus de choses. L’organisme avait arrêté ce service depuis la pandémie, mais compte le repartir au nouvel emplacement.
D’ailleurs, les usagers du Garde-Manger ont aussi très hâte au nouveau local. « On va faciliter l’accès au Garde-Manger, car il sera central, près d’un arrêt d’autobus et il y aura en plus un stationnement », explique le directeur.
« C’est un grand pas pour nous. Grâce au nouvel endroit, on va accélérer le service. On pourra préparer d’avance les paniers. Puis, deux cuisines nous permettront de faire la transformation et la cuisine collective », rapporte M. St-Vincent.
L’organisme a également prévu des plans pour agrandir si la demande continue d’augmenter. En attendant, le directeur général aimerait « accueillir un partenaire, un service ou un intervenant attaché au milieu ».