Pour le bien de la maison victorienne
Par marjorie-roy
Suite à l’article sur le sort de la maison Victorienne parue dans la dernière édition d’Accès, Diane Devalezz, propriétaire de la bâtisse, a souhaité rassurer la population au sujet des rénovations.
Consciente de la valeur de cette maison aux yeux des citoyens, cette dernière ne laissera jamais à l’abandon cette valeur patrimoniale des Pays-d’en-Haut.
Il ne faut pas s’inquiéter
Adorant cette maison depuis son achat, Mme Devalezz affirme que les travaux étaient plus que nécessaires à la conservation de celle-ci. «La maison Victorienne a 105 ans, il est tout à fait normal qu’elle ait besoin de rénovations, et je fais tout en mon possible pour en prendre soin et l’entretenir». Expliquant qu’une meilleure isolation était de mise et que le revêtement avait besoin d’un rafraîchissement, cette propriétaire souligne «qu’il a fallu attendre plus de six mois avant de commencer les travaux, car chaque petit détail devait rester fidèle à l’apparence originale de la bâtisse et être approuvé par la Ville».
Déçue de la lettre de Mme St-Pierre adressée aux médias, Mme Devalezz précise qu’en tant que détentrice de cette maison, qui lui est très cher, qu’il est dans son devoir d’améliorer les structures indispensable à la conservation de cette bâtisse, et ce, en harmonie avec les obligeances de la Ville. Désirant préserver cette bâtisse importante du patrimoine de Saint-Sauveur pour plusieurs années à venir, Mme Devalezz insiste sur l’amour qu’elle a envers cette maison et qu’en aucun cas elle n’aurait entrepris des rénovations superflues.
La Crêperie l’Armorique
Aujourd’hui dédiée à la restauration, Diane Devalezz poursuit que la maison Victorienne se doit d’être en condition d’accueillir les éléments essentiels au roulement de son restaurant La Crêperie l’Armorique. «Je participe aussi par l’entremise de mon restaurant à créer de l’emploi dans ma région, je dois ainsi assurer un lieu de travail propre et en bon état à mes employés et à mes clients».
Assurant que cette maison restera bel et bien la fameuse maison Victorienne d’autrefois, Mme Devalezz conclut faire tout ce qui est en son pouvoir afin de conserver l’apparence de cette bâtisse telle que les citoyens la désirent.