J.B. Jo signe une chanson pour une bonne cause

Par Jean-Patrice Desjardins

Société de l’autisme des Laurentides

Jean-Patrice Desjardins

La chanteuse J.B. Jo signe la musique d’une nouvelle chanson qui se retrouve au cœur d’une campagne de financement de la Société de l’autisme des Laurentides. Chaque téléchargement de la chanson L’amour à l’unisson permettra de recueillir 0,50 $ pour cet organisme.

La chanson L’amour à l’unisson est le résultat d’un projet collectif initié par l’auteure Suzie Malette, qui enseigne aussi auprès d’un groupe d’enfants autistes de l’école Notre-Dame, à Saint-Eustache. «Inspiré d’un projet scolaire portant sur la beauté des différences, le texte est né d’une chaîne de paix, de tolérance et d’amitié qui a voyagé à travers 75 pays», explique J.B. Jo. La chanteuse a su relever le défi en créant la mélodie et la musique de cette chanson.

J.B. Jo a d’abord enregistré les instruments chez elle, puis le réalisateur Christophe Danetz a accueilli les jeunes autistes au Studio de la relève à Rosemère pour qu’ils puissent chanter les chœurs de la chanson. Jean Rémillard signe le travail de mixage.

La participation des jeunes, pour qui l’expérience saura rester dans leur mémoire pour longtemps, ne s’arrête pas là. Ils ont également pris part à la création du vidéoclip avec quelque 250 élèves et intervenants de leur école.

«J’ai vraiment tripé en réalisant ce projet avec des jeunes qui sont normalement plus refermés sur eux-mêmes. Avec cette chanson rassembleuse, Suzie et moi avons clairement réussi à les faire sortir de leur zone de confort, et ce, dans l’amour et le plaisir. En studio, ils étaient tout sourire», conclut la chanteuse de Saint-Hippolyte.

Il est donc possible de télécharger la chanson sur le site www.jbjomusic.com et ainsi contribuer aux activités de la Société de l’autisme des Laurentides, un organisme de promotion, d’aide et d’entraide, de défense des droits et des intérêts des personnes atteintes d’autisme ou d’un autre trouble envahissant du développement et de leurs familles.

2 commentaires

  1. Bravo…aux intervenantes scolaires ….vivre leur réalité c’est de reconnaitre leur différence….sans jugement !

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