Sorties culturelles
Par Rédaction
Sainte-Adèle
Exposition à la Galerie L’Apostrophe
Marie-Josée Ouellet, bachelière en Art et professeur d’art, exposera ses tableaux à la Galerie L’Apostrophe du 6 au 28 novembre.
La galerie sera ouverte les samedi et dimanche, de 11h à 16h, ou encore sur rendez-vous (moi@nadiabertrand.com). L’artiste sera sur place le 6 novembre pour le vernissage.
À propos de la galerie
Après avoir exploré quelques coins de la planète pendant plusieurs années, l’artiste peintre Nadia Bertrand est de retour à Sainte-Adèle, sa région d’origine. Désireuse de partager sa passion pour les arts, elle ouvre un l’espace galerie L’Apostrophe afin d’y faire découvrir ses œuvres ainsi que celles d’artistes des Laurentides.
Où? Galerie L’Apostrophe au 3094 Charrette à Sainte-Adèle
Quand? Samedi et dimanche du 6 au 28 novembre de 11h à 16h.
–
MAC LAU
Nouvelle exposition à partir du 7 novembre
Le Musée d’art contemporain des Laurentides présente, du 7 novembre au 13 février, Les Vies possibles | Menm vye tintin. Créée par Stanley Février, l’exposition est une œuvre participative, basée sur le code Morse et les signaux de détresse, qui interroge les conditions des artistes en arts visuels, les relations qu’ils entretiennent avec les galeries et le monde de l’art.
Les vies possibles met l’accent sur l’indifférence du milieu culturel face aux cris de détresse des artistes, leur vulnérabilité, les réalités et contraintes indissociables dans leur vie professionnelle et personnelle, et pouvant affecter leur santé mentale, émotionnelle et affective.
À propos de l’artiste
Artiste plasticien, Stanley Février envisage l’art comme un vecteur de changement social et pose un regard aiguisé sur les dynamiques sociales prenant forme dans les sociétés occidentales. Artiste montréalais diplômé d’une maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) (2015-2018), Février a participé à plusieurs expositions individuelles et collectives dans les dernières années. Ses récentes préoccupations artistiques et conceptuelles se basent sur la critique institutionnelle, sur les enjeux identitaires, ainsi que la violence et les inégalités engendrées.