L’épique époque de l’équipe hippique écope…
Par yves-guezou
Amis du sport hippique et parieurs de tout poil équin, c’est la fin d’une époque: on ferme les champs de courses de chevaux au Québec, c’est la mort du p’tit cheval. La faillite de l’industrie hippique fait grand bruit dans l’actualité ces jours-ci et on se demande -moi, en tout cas- mais pourquoi tout ce bruit? On ferme trois hippodromes, le maire de Québec est content, il lorgne sur le terrain de sa ville pour sa prochaine Aréna (fais-le et ils viendront, c’est dans un film avec Kevin Costner), les centaines de millions de subventions gouvernementales, attribuées au secteur parce que le président de ci connaît le ministre de ça, iront peut-être vers des secteurs un peu plus vitaux de notre économie. Pour ce qui a trait à la ré-orientation de l’élevage des chevaux, je veux bien faire ma part: pour un excellent tartare de cheval, coupez la viande au couteau, mélanger les câpres, l’oignon rouge, le jaune d’œuf, une cuillère de moutarde à l’ancienne et saupoudrez de jalapenos séchés et fumés.
Amusez-vous à prononcer trois fois de suite le titre de cette rubrique.