L’importance des employés chez Desjardins Marine
Par Rédaction
La contribution des employés y est souvent pour beaucoup lorsqu’une entreprise connaît du succès depuis longtemps. Chez Desjardins Marine à Sainte-Adèle, en plus de compter sur une famille soudée, certains employés y travaillent depuis près de 20, 30, ou même 40 ans.
Richard Desjardins a ses employés à coeur et ne rate jamais une occasion de souligner leur travail. Pour lui, ils sont la raison pour laquelle Desjardins Marine peut célébrer 60 ans d’histoire cette année.
« Sans nos employés, Desjardins Marine n’existe pas, insiste Richard. Sans l’appui de tous nos employés, autant ceux qui sont partis que ceux qui sont ici aujourd’hui, ça ne serait pas possible et c’est important de le souligner. »
Richard mentionne aussi le travail de ses employés avec le plus d’ancienneté, comme Yves Perreault, Todd Sullivan et Stéphane Paradis.
« En 2026, ça va faire 40 ans qu’Yves est ici, partage Richard. Il y a Todd, qui a commencé en 1988. Il est parti travailler ailleurs et est revenu par la suite. J’ai aussi Stéphane, qui a commencé en 1993. »
Après avoir terminé l’école, M. Perreault a commencé sa carrière de mécanicien chez Desjardins Marine, en 1986. Il est le vétéran de la place. Bien que vous ne risquez pas de le voir aussi souvent qu’un employé du service à la clientèle, il suffit de croiser son chemin pour discerner comment il est une personne simple et plaisante à côtoyer. M. Perreault indique d’ailleurs qu’il ne se fatigue jamais de son travail.
« J’aime que ça varie selon les saisons, explique-t-il. En été, ce sont les bateaux et durant l’hiver, ce sont les motoneiges. J’aime aussi l’ambiance. Souvent, j’ai l’impression de travailler avec des membres de ma famille. »
Premier arrivé
M. Paradis, lui, travaille sur la route. Quand il a commencé chez Desjardins Marine, il ne connaissait pas grand-chose sur son travail. Aujourd’hui, il dit connaître tous les lacs dans les Laurentides.
« Je suis tout le temps dehors, affirme-t-il. Ce n’est pas un travail où tu restes à l’intérieur et c’est ça que j’aime. J’aime vraiment faire de la route et livrer. J’aime aussi le contact que j’ai avec les clients depuis des années. Je ne considère pas ça comme un travail. Si vous demandez au propriétaire, il sait que c’est moi qui ouvre le magasin à 7 h et pourtant, je commence à 8 h. Je suis ici une heure d’avance tous les matins. Lorsque je suis à la maison et qu’il y a une urgence, on m’appelle. Je suis tout le temps disponible. »
Même pour les membres de la famille, il y a un sentiment d’appartenance qui va plus loin que le fait d’être une entreprise familiale. Vincent Desjardins, le fils de Richard, considère qu’il y a cette zone de confort au travail, permettant de se sentir à la maison.
« Les employés qui ne sont pas, littéralement, des Desjardins, sont des employés de longue date aussi, ajoute-t-il. Donc, ils font quand même partie de la famille. Pour ma part, ça fait presque 20 ans que je suis dans l’entreprise et que je les côtoie, alors c’est encore plus plaisant. »
Richard, qui est le plus ancien de la place avec 52 ans d’expérience, note aussi d’autres employés de longue date pour l’entreprise : Michael Mcguire (8 ans), Nicolas Desjardins (11 ans), Jessika Desjardins (12 ans), Amelie Desjardins (12 ans), Sébastien Lemieux (13 ans), Janik Paradis (14 ans), Sylvain Lachaine (14 ans), Maxime Circé (17 ans), Vincent Desjardins (18 ans), Claudine Bélanger (25 ans), Gilles Cassanne (26 ans), ainsi que son frère Marc Desjardins (49 ans).
