
De l’usage et du partage : Les sentiers pour tous, vraiment ?
Il demande plus d’effort et d’énergie d’ouvrir une voie et de taper le chemin. L’eau qui coule utilise (presque) toujours le chemin le plus facile et il en est de même pour la plupart des êtres vivants… mis à part quelques aventuriers plus dégourdis que d’autres. C’est dans la nature des choses de s’approprier ce qui existe déjà, d’emprunter à l’autre et de faire sien, d’aller avec le courant. Est-ce pour autant la meilleure façon…